Des banques zombies

Une des plus connues consiste à promener un certain groupe de personnages, d’acte en acte, dans les milieux les plus divers, de manière à faire renaître dans des circonstances toujours nouvelles une même série d’événements ou de mésaventures qui se correspondent symétriquement.Les femmes restant toutefois minoritaires dans le monde avec 47% de la population internautes.La démocratie serait, selon, humiliée par la « tyrannie des idéologues».Moins on en parle, moins on prend soin d’elle.Il a trop souvent fait ainsi de la matière une entité mystérieuse, qui, justement parce que nous n’en connaissons plus que la vaine apparence, pourrait aussi bien engendrer les phénomènes de la pensée que les autres.Nous choisissons en réalité sans cesse, et sans cesse aussi nous abandonnons beaucoup de choses.Examinons ces deux termes :La solution dépend d’abord, disons-nous, de la valeur qu’on attache à la vie.Elle ne réussit, il est vrai, qu’à en retarder la chute.Mais je sais qu’il n’y a plus de Rasoir national, et qu’il en faut un ; et qu’il y en aura un.La politique entre en jeu et l’avantage d’un positionnement politique est d’attirer l’attention de l’opinion publique.C’est la synthèse d’un effort énorme et fou, d’une spéculation gigantesque et vaine, d’une somme de talent, de savoir, de génie et d’intuition tellement immense, que l’esprit, à la contemplation des merveilles accumulées, s’élance d’un bond vers le Futur — ce futur qui pourrait être Aujourd’hui, si l’on voulait, — jaillit involontairement hors des turpitudes présentes, échappant dans son essor aux grilles du cauchemar obscène et meurtrier que sont les réalités actuelles.Prises dans leur ensemble, les réformes financières introduires par le G20 et transposées dans les différents pays et juridictions ont plusieurs conséquences sur les modèles d’activité des banques.