Les critiques du concept d’homo economicus

A l’avenir, une personne ne sera plus embauchée uniquement pour une tâche précise mais bien pour sa capacité à acquérir de nouvelles compétences et à évoluer en même temps que son métier.Notre admiration pour la fonction spéculative de l’esprit peut être grande ; mais quand des philosophes avancent qu’elle suffirait à faire taire l’égoïsme et la passion, ils nous montrent — et nous devons les en féliciter — qu’ils n’ont jamais entendu résonner bien fort chez eux la voix de l’un ni de l’autre.L’interdiction de la violation des secrets des affaires est érigée en principe.Les hommages rendus — à l’œil — à un fantoche comme Gambetta sont une honte pour une nation.Ces billets, qu’en faire, à qui les confier ? Selon le bon mot de Jean-Thomas Trojani «  si l’on mettait tous les économistes bout à bout, ils seraient incapables de tirer une conclusion.  » .Mais quelques éléments factuels méritent au préalable d’être rappelés pour éviter que n’y prospèrent les idées reçues.Nous le verrons de mieux en mieux à mesure que nous avancerons dans notre étude : il n’est pas facile, quand on pense au temps, d’échapper à l’image du sablier.Des divergences qui éloignent la perspective d’un gouvernement économique alors que ce dernier aurait dû être consubstantiel de la création l’euro pour en assurer le bon fonctionnement.On s’exprime dans chaque cas particulier comme si le processus d’adaptation était un effort de l’organisme pour construire une machine capable de tirer des conditions extérieures le meilleur parti possible ; puis on parle de l’adaptation en général comme si elle était l’empreinte même des circonstances, reçue passivement par une matière indifférente.Elles sont censées, comme l’enfance ou la vieillesse d’un être vivant, caractériser une période dont elles exprime­raient la quintessence, tout le reste de cette période étant rempli par le passa­ge, dépourvu d’intérêt en lui-même, d’une forme à une autre forme.Appliquons ces procédés au choix des mots et à la construction des phrases.