Gaz : un goût amer

Ce renoncement était une absorption dans le Tout, comme aussi en soi-même.Dans le contexte actuel cependant, notre plus redoutable adversaire n’est pas tant la conjoncture que notre propre pessimisme.Et elle ne la tournera que si elle en connaît la configuration.Cette «1ère mondiale» ambitionne de devenir une norme internationale dans le cadre de l’organisation internationale de normalisation (ISO).C’est parce que je dure de cette manière que je me représente ce que j’appelle les oscillations passées du pendule, en même temps que je perçois l’oscillation actuelle.À la chambre Fnaim du Grand Paris, nous travaillons avec la mairie de Paris à une mobilisation du parc privé existant pour baisser les loyers sans que le bailleur ne perde son revenu.Ce sera là le principal mandat de Gestion e-reputation : remonter inlassablement sur sa monture pour rabâcher sans cesse qu’à force d’atermoiements.Mais il est naturel de parler, et les signes invariables, d’origine naturelle, qui servent probablement dans une société d’insectes représentent ce qu’eût été notre langage si la nature, en nous octroyant la faculté de parler, n’y eût joint cette fonction fabricatrice et utilisatrice de l’outil, inventive par conséquent, qu’est l’intelligence.Comme si l’obscurité ne venait pas tout entière de ce qu’on a supposé l’immobilité plus claire que la mobilité, l’arrêt antérieur au mouvement !En notre époque de relativisme généralisé, la défense sans concession de Bertrand Russell du rationalisme comme moyen d’établir des jugements vrais apparaît tout compte fait plutôt stimulante et libératrice : « Surmonter sa peur, c’est le premier pas vers la sagesse dans la recherche de la vérité comme dans la quête d’une vie digne », assure ainsi Russell, un auteur qu’il faut (re)découvrir.Il ne faut pas croire, comme on le fait souvent, que le poison soit allé chercher dans l’écorce céré­brale un certain mécanisme qui serait l’aspect matériel d’un certain raisonne­ment, qu’il ait dérangé ce mécanisme et que ce soit pour cela que le malade divague.