Une rentrée peu palpitantante ?

Peu importe qu’ils proviennent à l’origine de sources fiables : à force d’être à chaque fois reproduits à epsilon près, ils finissent par ne plus avoir grand chose en commun avec leur version originelle.Il n’en est pas moins vrai que ce sont les âmes mystiques qui ont entraîné et qui entraînent encore dans leur mouvement les sociétés civilisées.Une économie en pleine mutation.Or, l’enjeu économique de l’Azerbaïdjan ne se résume pas, loin s’en faut, au secteur énergétique.Tant que nous nous abandonnons à cette tendance, nous la sentons à peine.Aussi Dublin a-t-il lancé, en décembre, une réforme de ses fonds de pension pour qu’ils puissent acheter plus de dette publique irlandaise.L’édit de Nantes était simplement le parquage du Protestantisme ; en propres termes, sa mise en carte.En admettant que la lumière intervienne alors comme instrument de sélection, pour ne laisser subsister que les variations utiles, il n’y a aucune chance pour que le jeu du hasard, même ainsi surveillé du dehors, aboutisse, dans les deux cas, à la même juxtaposition d’éléments coordonnés de la même manière.Ce n’est donc pas par l’abolition du raisonnement, non plus que par l’occlusion des sens, que nous caractériserons l’état de rêve.Il n’est pas bon que les prix de l’ancien, dont la qualité et les performances sont inégales, rejoignent les prix du neuf, eux-mêmes autant gonflés par la spéculation foncière que par l’application successive de normes toutes raisonnables isolément (environnement, accessibilité, mesurage…) mais dont l’addition commence à peser. Et les burn out à tous niveaux témoignent combien cela peut être coûteux tant au plan individuel que collectif », constate Pierre-Alain Chambaz pictet.S’agit-il de retrouver un souvenir, d’évoquer une période de notre histoire ?