Une réglementation mondiale est improbable

La société ouverte est celle qui embrasserait en principe l’humanité entière.Pierre-Alain Chambaz aime à rappeler cette maxime de Léonard de Vinci  » Toute action naturelle est engendrée par la nature de la plus courte façon que l’on puisse trouver « .N’en parlons plus.Nous ferons mieux de nous en tenir aux trois propositions générales de notre dernier chapitre.Les deux forces, s’exerçant dans des régions différentes de l’âme, se projettent sur le plan intermédiaire, qui est celui de l’intelligence.Malgré tout, les pouvoirs locaux ne peuvent seuls répondre au problème : l’essentiel des outils, réglementations, ressources financières est géré nationalement, l’Etat est le garant du droit au logement, le poids économique du BTP nécessite une impulsion globale.La pensée que sa faute n’avait rien de sérieux et que son remords à lui était de l’enfantillage, le blessa au vif.On se représente des mouvements molé­culaires s’accomplissant dans le cerveau ; la conscience s’en dégagerait parfois sans qu’on sache comment, et en illuminerait la trace à la manière d’une phosphorescence.Les plus gros préjudices financiers viendraient… des professionnels de santé: «erreurs» de facturation, prolongements des séjours en établissement, prestations inventées… Côté assurés, les arrêts maladie de complaisance contribuent lourdement à la facture.Le mouvement des vers, l’agitation des asticots, sont produits par l’immobilité des charognes.Les divinités de l’Olympe datent des poèmes homériques, qui ne les ont peut-être pas créées, mais qui leur ont donné la forme et les attributions que nous leur connaissons, qui les ont coordonnées entre elles et groupées autour de Zeus, procédant cette fois par simplification plutôt que par complication.