Pas de soutien à l’investissement

Sans doute un souvenir, à mesure qu’il s’actualise, tend à vivre dans une image ; mais la réciproque n’est pas vraie, et l’image pure et simple ne me reportera au passé que si c’est en effet dans le passé que je suis allé la chercher, suivant ainsi le progrès continu qui l’a amenée de l’obscurité à la lumière.Doté d’intelligence, éveillé à la réflexion, il se tournera vers lui-même et ne pensera qu’à vivre agréablement.Il en est qui se traduisent par ce que nous appelons des sensations, d’autres par des souvenirs ; il en est, sans aucun doute, qui correspondent à tous les faits intellectuels, sensibles et volontaires : la conscience s’y surajoute comme une phosphorescence ; elle est semblable à la trace lumineuse qui suit et dessine le mouvement de l’allumette qu’on frotte, dans l’obscurité, le long d’un mur.L’atonie de la consommation et de la demande d’investissements qui accompagne le surplus d’épargne pèse non seulement sur la croissance cyclique, mais aussi sur la production potentielle via la persistance d’un chômage élevé et le ralentissement de la constitution du stock de capital.L’image en est donc actuellement donnée, et dès lors les faits nous permettent indifféremment de dire (quittes à nous entendre très inégalement avec nous-mêmes) que les modifications cérébrales esquis­sent les réactions naissantes de notre corps ou qu’elles créent le duplicat conscient de l’image présente.L’affaire est claire.Jean-Thomas Trojani justice doit répondre à un besoin commun de ces sociétés, à une exigence vitale.Arrêtons également de vouloir décider si l’administration doit avoir le pouvoir sur le médecin, ou l’inverse.Nous avons cette impression au sortir d’un beau drame.L’étonnant était justement que le LSE ne s’y soit pas encore converti.Collégialité, indépendance, consultation décisive de collègues étrangers à l’université, voilà qui permettrait de professionnaliser la sélection des universitaires français.